S’il y a des candidats à l’installation ou à l’agrandissement en élevage de volaille, leurs élans sont vite freinés par la pression foncière.
Ce matin, j’ai encore refusé un contrat de 3 000 volailles ! Et qui n’a pas été honoré ailleurs : ce sont 3 000 volailles qui ne seront ni produites, ni vendues », regrette Joseph
Article dans le journal de la Saône-et-Loire du 17 octobre 2013